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Parti Niçois/Partit Nissart - site officiel

9 février 2011

Réaction de M. Alain Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois au sujet de l’alliance de M. Peyrat avec le Front National

« En dix jours à peine, l’ex-maire de Nice, a commis deux erreurs politiques majeures : l’alliance avec un groupuscule qui se pare du vocable niçois de « Nissa rebela » , mais qui est en réalité  l’émanation directe du Bloc identitaire, parti d’extrême droite français connu pour ses provocations indignes, comme la distribution de soupe au cochon,  puis le rapprochement avec le Front national qu’il avait quitté en 1994 pour pouvoir prétendre à la mairie de Nice.  Allié ponctuel et sous conditions, de Jacques Peyrat, sur la liste duquel je figurais en 11e position en 2008, je me dois de réagir. Les 33000 électeurs qui nous avaient accordé leurs suffrages, n’ont pas voté pour l’extrême droite, et aujourd’hui se voient floués. J’avais mis en garde Jacques Peyrat au sujet de son entourage ; devant cette dérive plus que malsaine, je suis contraint de me désolidariser de lui. Ni l’ambition politique, ni la vengeance ne peuvent  justifier un renoncement aux valeurs humanistes et républicaines ».

Alain Roullier-Laurens

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14 janvier 2011

M. Rudy Salles fait de la voyance

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 14 janvier 2011 : « Nous sommes surpris à plus d’un titre par un article paru sur un média du web ; le titre laisse penser que M. Rudy Salles (dont le père est bien connu des Niçois puisqu’il fut l’un des principaux protagonistes de l’affaire « Nice-Opéra » laquelle coûta 400 millions de francs aux Niçois à la fin de l’ère Médecin) fait de la voyance directe en ligne : « Rudy Salles prédit une grande année 2011 pour Nice ». Ce qui est certain c’est que ce sera une année mémorable pour le portefeuille des contribuables, compte tenu de l’argent gaspillé par la municipalité et de toutes les augmentations annoncées.   

« M. Salles critique ensuite M. Bayrou, qui selon lui « est contre tout le monde, majorité et opposition ». Le monde politique pour M. Salles, se résume donc à la droite et à la gauche en dehors desquelles rien n’existe. C’est ce que ses amis et lui proclament « démocratie »... Un club fermé composé de deux membres qui exclut toutes les autres sensibilités politiques au profit de deux partis frères jumeaux et complices de fait, qui se partagent le pouvoir depuis trop longtemps et empêchent tous les autres d’avoir droit au chapitre.

« Il indique ensuite que pour les cantonales de cette année « ces élections ne doivent pas juger de la politique nationale ». Il oublie seulement que la politique nationale influe grandement sur la politique locale ; sa demande prouve également que la politique nationale est catastrophique, dans le cas contraire, il ne demanderait évidemment pas d’ignorer la politique nationale.

« Il indique ensuite que Mme Moreau sous l’étiquette « Nice Ensemble » « essaiera de gagner le siège qui est aujourd’hui propriété de M. Mottard ». Il faut rappeler à ce grand démocrate qu’une élection n’est pas une loterie et que les sièges n’appartiennent pas aux élus.

« M. Salles explique aussi que cette année « Nice-Métropole » récupérera des compétences dévolues au Conseil régional et au Conseil général, nouveau statut avec lequel Nice sortira de la tutelle de Marseille ». Ceci est une belle galéjade marseillaise, car les fameuses « compétences » sont la plupart du temps des secteurs déficitaires dont l’Etat se décharge sur les régions pour ne pas avoir à payer...

« Bouquet final, il compare ceci « au rattachement de Nice à la France,  et dans des temps plus récents, à la fondation de notre université qui nous a permis de nous affranchir de celle de Marseille-Aix ». S’il fait de la voyance pour l’avenir, M. Salles,  falsifie le passé et en particulier l’histoire de Nice car ses propos sont l’inverse de la réalité. Nice possédait une université depuis quelques siècles avant l’annexion ; elle fut supprimée par la France après l'invasion de Nice en 1860. Et c’est Jean Médecin avec l’aide de lettrés et de Professeurs qui peu à peu, la récréa à Nice. Elle ne fut donc pas fondée mais récupérée à la force du poignet, alors que la France nous l’avait enlevée. Les raccourcis historiques de M. Salles cadrent parfaitement avec les mensonges débités l’année passée lors des commémorations que l’on sait.

« Ce que M. Salles, dans sa clairvoyance n’a pas vu, c’est que les Niçois en ont assez du régime des partis, et que cette « grande année », le parti Niçois va entrer en lice, afin de donner la possibilité aux niçoises et aux niçois d’échapper à la pieuvre politique parisienne qui étouffe Nice. Ce sera donc une grande année, mais pas comme il le l’entend. Il semble que si, pour l’instant, il a réussi en politique, il vaut mieux qu’il n’ouvre pas d’officine de voyance ».

2 janvier 2011

Communiqué du 2 janvier 2011

Parti_nicois_2_1Le bureau politique du Parti Niçois/Partit Nissart, a décidé de présenter des candidats lors des prochaines élections cantonales. Certains d’entre eux ont déjà été désignés. Ils appartiennent à la société civile et ont été choisis en fonction de leur implication pour Nice et leurs quartiers. Ils sont tout à fait étrangers au système politique parisien qui a tant nuit à notre ville. Leur programme sera de porter haut les couleurs de Nice, d’améliorer la vie quotidienne des Niçois, de veiller au bon emploi des deniers publics, de promouvoir notre culture et notre identité niçoise, totalement mises sous le boisseau par l’actuelle municipalité. Dans le cas spécial du XIVème canton , le bureau politique n’a pas cru bon de présenter de candidat, afin de pas gêner par une inopportune dispersion des voix, ceux qui s’opposeront à Mme Estrosi-Sassone et à son parti. Il est grand temps que les niçoises et les niçois se constituent en force politique indépendante et purement niçoise pour faire entendre leur voix et reprendre le pouvoir chez eux. Le Parti Niçois : Partit/Nissart, s’y emploiera

14 novembre 2010

Communiqué du Parti Niçois du 14 novembre 2010

Parti_nicois_2_1«  Ce soir, le couperet  élyséen est tombé. Il semble que M. Estrosi n’ait pas réalisé que la tâche d’un ministre ne consiste pas à déclamer des formules creuses sur un ton péremptoire, et à prendre des  poses devant les photographes. Il n’était pas apprécié à Paris dans les cercles dirigeants et très affaiblis à l’U.M.P, où des figures de proue du mouvement, ne cachaient pas leurs sentiments à son égard. Le président de la République, et le Premier ministre en ont tiré les conclusions. Durant son passage au ministère de l’Industrie , la France a perdu 200 000 emplois industriels, ce qui conduit certains à le qualifier de « ministre  des fermetures d’entreprises ». L’on connaît aussi dans la capitale, les sentiments qu’éprouvent de plus en plus de Niçois à son égard, lesquels se traduiront dans les urnes lors des prochaines échéances électorales. Quand le capitaine d’un navire veut gagner une course, il fait jeter les poids inutiles à la mer, quand un gouvernement joue une course de vitesse avec la crise, il fait de même. La disgrâce s’est même fait sentir dans les médias, qu’affectionne M. Estrosi ;  son nom n’a pratiquement pas été cité et la Chaîne France 2 l’a même « oublié » dans la liste des sortants...  Cruelle réalité, que de périr par là où l’on pensait  régner...

« Revenu enfin à Nice, qu’il a  trop longtemps délaissée alors qu’il avait promis de quitter son ministère pour s’y consacrer, il va trouver une opinion aussi sévère pour lui, qu’à Paris.  il va y trouver aussi le désert politique, social et culturel, qu’il y a laissé et un mécontentement croissant, contenu pendant trois ans, mais qui va certainement  faire bouger les lignes lors des prochaines échéances électorales. Si à Paris, il est « le ministère de la fermeture d’entreprises » à Nice il est le maire fantôme qui a augmenté sensiblement les impôts locaux,  bunkérisé la mairie, fait installer une forêt de caméras dans les rues et  reconduire chez eux deux mineurs après le couvre-feu qu’il a fait instaurer, lequel était présenté comme une panacée pour renforcer la sécurité et la protection des jeunes. A ce bilan qui se passe de commentaires, il faut ajouter, la coûteuse affaire des jeux olympiques, du tram sur la promenade et le gaspillage éhonté des fonds publics en publicités inutiles dans le quotidien local.

En trois ans, le maire, a fait à Nice la preuve de son incapacité à gérer cette ville ; le déluge de photographies de sa personne parues dans le quotidien local depuis son élection, n’y changera rien, car en politique la bilocation ne conduit pas à la canonisation, mais à la mise  la retraite.

Nice est un navire sans capitaine et sans gouvernail ; tout nous prouve depuis trois ans, que la situation ne peut notablement évoluer, sinon en pire. Les paillettes, les effets d’annonce, les emplâtres sur une jambe de bois, le gaspillage des fonds publics, le total mépris de l’identité niçoise, le « mariage de Nice avec Marseille » et la promotion de l’écharpe du club de football  Monaco, que le maire porta publiquement, cela suffit.  Les Niçoises et les Niçois doivent prendre les choses en main.

Le comité politique du parti Niçois se réunira très prochainement pour préparer les prochaines élections cantonales et décider s’il sera présent lors de ce scrutin. En attendant, nous demandons aux Niçoises et aux Niçois de se mobiliser pour Nice et de soulever l’éteignoir que l’actuelle municipalité à mis sur la ville – fin de communiqué »      

10 mai 2010

T-shirt du 150e anniversaire de l'annexion de Nice

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T-shirt du 150e anniversaire de l'annexion de Nice.

Aigle en relief brisant les chaînes de la servitude.

Prix 13 €

Existe en plusieurs tailles

Vous pouvez vous le procurer au Parti Niçois,

1 rue Caïs de Pierlas, porte verte, 06300 Nissa

Tél. 06 12 86 25 05

parti_ni_ois_sur_facebook

 

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1 mai 2010

Communiqué du Parti Niçois du 1er Mai 2010

« Tarifs pratiqués par l’épicerie Marianne & C° :

  • Pompiers pyromanes, notaires escrocs, CRS inculpés de vol en réunion, policiers filmés en flagrant délit de vol ; associations caritatives mises en examen pour escroquerie en bande organisée ; Préfète suspendue et soupçonnée de vols et détournements ; élu UMP inculpé de corruption de mineur. Tarif : non encore communiqué

  • Ministre qui gaspille 116 000 euros en utilisant un jet privé. Tarif : légère réprimande

  • Gendarmes coupables de faux et usage de faux lors de la rédaction de PV. Tarif : cinq et deux mois de prison avec sursis.

  • Ex ministre de l’intérieur et sénateur coupable de corruption passive et de complicité et recel d’abus de bien sociaux. Tarif : un an de prison avec sursis.

  • Supporter de foot Niçois éméché qui brûle des feux. Tarif : trois mois de prison ferme et confiscation du véhicule.

  • Port de burqa. Tarif : 150 euros envisagés.

  • Journal qui truque les sondages afin de complaire à un politicien local. Tarif : Néant

  • Attaque de conducteur de tram au sabre. Tarif : trois mois ferme et trois mois avec sursis.

  • Association de fait de supporters qui soutiennent le Gym de Nice et l’identité niçoise. Tarif : Dissolution collective. Interdictions de stade.

  • Détournement de 105 367, 74 euros de fonds public dans l’affaire du Golf de Nice : Tarif : aucune peine, passé en pertes et profits au débit de la collectivité.

  • Port en réunion de vêtements portant le sigle de l’association niçoise dissoute. Tarif : jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.

L’épicerie Marianne & C° qui est au bord de la faillite impose des prix véritablement prohibitifs aux Niçois que, visiblement, elle n’apprécie pas. Il est temps de changer de crémerie et de renvoyer ses représentants à Nice à leur siège social parisien».

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29 avril 2010

DISSOLUTION DE LA BSN . Le coq gaulois veut détruire le particularisme niçois.

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Communiqué du parti Niçois du 29 avril 2010 : « Comme il fallait s’y attendre, la BSN a été dissoute sous de fallacieux prétextes. Le décret de dissolution est une déclaration de guerre aux vrais Niçois, qui défendent leur drapeau. Le coq gaulois, les pattes sur un tas de fumier nauséabond, irrité et affolé que sa basse-cour prenne l’eau de tous côtés et que la révolte gronde, donne des coups d’ergots à tout ce qui bouge. Beaucoup de Niçois ne sont point encore lobotomisés par le système politique français, et lui résistent ; ils deviennent des cibles à abattre à tout prix. La gestion catastrophique des politiciens a conduit l’hexagone gaulois à la totale ruine, partout souffle un vent de rébellion. Les Niçois sont les premiers dans la ligne de mire car leur particularisme ancestral, et leur goût de la liberté inquiète le pouvoir parisien. Le mensonge sécuritaire, prétexte à la dissolution de la BSN ferait rire un cheval de bois, s’il n’était pas un pas de plus vers la dictature.

La sécurité des populations est le dernier souci des politiciens, et sert de prétexte à bâillonner les forces vives. Ce n’est pas par hasard, que sous la houlette du ministre-maire, Nice a été décrétée « laboratoire » de ce système attentatoire aux libertés de chacun. Depuis que l’on ne peut plus entrer à la mairie de Nice sans être enregistré (et donc fiché) à l’entrée, que des centaines de caméras ont été installées partout, que tout est surveillé, que les gardes à vues se multiplient pour des vétilles, que de dangereux flash-balls sont utilisés, depuis que les citoyens n’ont plus le droit que de se taire, et de lire une presse mensongère et vendue au pouvoir, la délinquance a-t-elle été résorbée ?  Les rues sont elles sûres ? Elles le sont moins que jamais. Il est notoire que tous les dispositifs répressifs ne pèsent pas sur les délinquants, dont beaucoup sont relâchés avant que leurs victimes ne soient sorties du fatras administratif qu’on leur impose, mais sur la population que l’on prétend protéger ; les citoyens subissent à la fois une délinquance croissante, une très importante restriction de leur liberté, et les dérives des détenteurs le l’autorité.

La dissolution du groupe de supporters niçois qui portait haut les couleurs de Nice, n’est pas une mesure sécuritaire, c’est une tentative de mettre à la botte les forces vives niçoises qui défendent leur identité. L’identité niçoise a toujours été la bête noire du pouvoir central. On l’a vu en 1860, quand Nice, envahie militairement, a perdu sa liberté après un scandaleux plébiscite truqué, on l’a vu en 1871 quand le pouvoir jacobin a répondu au vote des urnes par des fusiliers marins, des canons et des mitrailleuses. Aujourd’hui la répression prend d’autres formes ; depuis peu, sa brutalité suggère que l’on pourrait bien revenir aux anciennes méthodes coloniales.

Mais les Niçois sont toujours là, et ils sont toujours Niçois ; ils n’ont pas été formatés dans le moule jacobin, et aujourd’hui ils se rebiffent et n’acceptent pas la muselière que l’on veut leur imposer sous prétexte de sécurité. Qu’attendre du système en place ? Information dirigée, sondages truqués, charcutages électoraux, lois de circonstances, confiscation du pouvoir par le biais de l’argent et des médias... Les Niçois ne peuvent rien attendre du système politique français, sauf un complet asservissement, la ruine, et leur disparition programmée, en tant qu’entité particulière.

Il est grand temps de se rassembler, pour faire face à ces multiples agressions contre notre identité et nos intérêts. Les politiciens français n’ont plus de légitimité à Nice, si tant est qu’ils n’en aient jamais eu. Ne croyez pas que la gauche va vous sauver de la droite et que la droite va vous sauver de la gauche ; ces forces ne sont pas opposées, elles sont cousines et se partagent le pouvoir comme un bien de famille. Le parti Niçois a été fondé pour défendre les intérêts de Nice et des Niçois en dehors de la politique française. Rejoignez le, demain, il sera trop tard ».

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25 avril 2010

Dissoudre la BSN c’est attaquer Nice. Communiqué du Parti Niçois du 25 Avril 2010

Parti_nicois_2_1«  Nous constatons qu’après toutes les atteintes à l’identité niçoise qui vont crescendo depuis deux ans, le pouvoir jacobin persiste à vouloir dissoudre la BSN. La mauvaise foi est patente, car le dossier à charge, présenté comme accablant, est un désert peuplé de mirages. Il se résume à quelques faits interprétés, assaisonnés de suppositions, d’omissions, d’inexactitudes et de mensonges. Mais du « gazage » odieux à Monaco pas un mot. Les censeurs ont toujours des pudeurs coupables quand les malfaisants ne sont pas ceux que l’on dit. La « vérité » sur les supporters niçois forgée par les journaleux parisiens, pour vendre du papier et dénigrer Nice, semble être l’un des éléments majeurs de cette cabale préparée depuis longtemps. 150e anniversaire de l’annexion oblige, on veut en haut lieu, mettre un bon coup sur la nuque de l’identité niçoise, en frappant ceux qui la défendent. Le système emploie toujours la même méthode : à défaut de pouvoir phagocyter, on brise. Pour paraphraser une locution célèbre : « Ne pouvant le corrompre, ils l’ont assassiné ». Mais le dossier d’accusation est si peu étayé, qu’une dissolution serait un déni de droit. 

La charge perfide du pouvoir parisien contre les supporters niçois est très grave, car c’est Nice qui est attaquée à travers eux. Et celui qui avant les élections se proclamait « Niçois jusqu’au bout des ongles » est dans le camp des assaillants. Les vrais Niçois en ont plus qu’assez de voir que tout ce qui de près ou de loin ressemble à l’identité niçoise est systématiquement effacé, nié, voire piétiné. Il se pourrait bien que les festivités du 150e anniversaire de l’annexion, moment culminant du processus anti-niçois, ne se déroulent pas comme l’espèrent les ennemis de Nice, car si l’on peut détruire une structure humaine, nul ne dissoudra jamais notre amour pour Nice. Ils ont ouvert les hostilités contre l’identité niçoise, ils persistent et signent, plus arrogants que jamais : nous leur répondrons comme il convient. Préparons nous donc à « fêter » le 150e anniversaire comme il convient ».    

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11 avril 2010

11 avril 2010 - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart :

Parti_nicois_2_1« Au moment où les politiciens locaux, suppôts du pouvoir jacobin, tentent de porter le coup de grâce à l'identité niçoise par des mesures on ne peut plus significatives comme le remplacement du moulage de la statue de  Charles-Félix devant la mairie par un pouce d’honneur de César, la quasi- disparition des drapeaux niçois en ville (lesquels auraient indisposé dit-on l’ex-ministre de la justice en visite à Nice), la disparition du blason de Nice sur la page d’accueil du site de la mairie, remplacé par celui de la Communauté urbaine, la suppression du mot d’accueil en niçois au standard téléphonique de la mairie, l’édification au Vieux-Nice d’un immense tas de ferraille qualifié de « monument du 150e anniversaire de l’annexion », dont le transport et l’installation coûteront très cher aux Niçois,  au moment enfin où le banc et l’arrière-banc des institutionnels persistent a diffuser ses mensonges au sujet de l’annexion de Nice et s’apprête  à célébrer en grandes pompes cette violation du Droit des Peuples à disposer d’eux-mêmes, la cause de Nice avance à grands pas depuis que notre président, M. Alain Roullier-Laurens et M. Jean de Pingon ont signé la Déclaration de Genève, adressée aux Puissances signataires du traité de Paix de 1947, et demandé à M. le Secrétaire général de l’O.N.U. de bien vouloir considérer que Nice et la Savoie sont des pays colonisés, en cette année qui doit marquer officiellement la fin de toute colonisation du fait des résolutions antérieurs votées par cette organisation. 

Un député de la majorité a déjà posé une question écrite au ministre de l’Intérieur, en ce qui concerne le statut de Nice et de la Savoie, qui compte tenu de l’abrogation du traité de Turin, risque de poser de très gros problèmes à l’Etat, tant dans ces territoires que sur le plan international.

Un Niçois travaillant en Savoie et poursuivi pour un délit de dépassement de vitesse intervenu à Nice, a fait valoir devant le tribunal d’Albertville que le traité d’annexion étant abrogé, le fonctionnaire idoine qui avait fixé cette limite de vitesse à Nice, n’avait aucun droit de le faire, et que de surcroît, pour la même raison, ledit tribunal siégeant en Savoie n’avait aucune légitimité pour le juger. Le tribunal d’Albertville s’est immédiatement déclaré incompétent pendant que des incidents éclataient dans la salle d’audience entre les souverainistes et les forces dites « de l’ordre ».

Le président du Parti Niçois tient à préciser que juridiquement, quand bien même l’autorité française, jusqu’à la décision internationale, réfuterait l’abrogation du traité de Turin, elle se trouverait néanmoins en total défaut de légitimité. En effet, dans le texte du traité de Turin, le roi de Sardaigne, déclare « qu’il cède ses droits à Napoléon III ». Ses droits sur Nice étaient ceux que lui conféraient la charte dédition de 1388. Or, comme le rappelle très justement Joseph André dans son ouvrage « Nice 1792 – 1824 » ce traité comportait d'importantes restrictions au pouvoir des souverains savoisiens  ; celle-ci notamment : « en aucune manière, ni pour des  raisons civiles ni pour des procès criminels les Niçois pouvaient êtres inquiétés par leurs propres tribunaux » ; « nisi causa dominium comitem tangeret» dans le texte. La France qui se prétend le pays des Droits de l’homme, et qui les viole souvent, s’honorera cette fois en les respectant dans un pays annexé illégalement.

Le Parti Niçois appelle les vrais Niçois a manifester dès à présent et par tous les moyens légaux, leur désapprobation des manifestations commémorant l’annexion scélérate de Nice ; il leur rappelle ou leur apprend  que conformément aux nouvelles dispositions législatives ils peuvent contester, le cas échéant, devant le tribunal où ils comparaissent [sauf la Cour d’assise] la constitutionnalité des lois auxquels ils sont soumis arbitrairement. A Nice, le droit des Peuples a été bafoué, le parti Niçois œuvrera avec les citoyens pour le rétablir  ». Fin de communiqué.

 

8 avril 2010

Jeudi 8 avril 2010 - Communiqué du bureau politique Parti Niçois – Partit Nissart –

Parti_nicois_2_« Suite à la Déclaration de Genève, signée le 24 mars 2010, par M. Alain Roullier-Laurens Président du Parti Niçois, et M. Jean de Pingon, qui a été adressée aux puissances signataires du Traité de Paix de 1947, l’abrogation du Traité du Turin, du fait du non-respect par la France des dispositions impératives du Traité de Paix de 1947, est déjà une affaire internationale. La question écrite d’un député UMP aux ministères concernés, passée au journal Officiel, le prouve amplement.

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Le combat pour la restauration des Droits de Nice et de la Savoie, entre dans une phase décisive. Nous demandons à toutes les Niçoises et à tous les Niçois, qui sont conscients que le destin de Nice est en jeu, de nous rejoindre. Le Parti Niçois a été fondé pour soutenir et promouvoir les Droits de Nice et rassembler les diverses sensibilités niçoises, hors de la politique française et autour de nos valeurs ancestrales. La société française se délite tous les jours davantage dans tous les domaines ; seule notre identité niçoise et la volonté de la défendre nous permettra d’initier le renouveau indispensable ; l’union est vitale, car le danger est  grand. Il est plus que temps de rejeter les partis français et leurs sous-produits locaux à qui l’on doit la situation actuelle ; les Niçois doivent s’unir hors de la politique française, verrouillée et servie par les médias. Nice doit être gérée par des Niçois, pour les Niçois et en fonction de ce que veulent les Niçois. Dans très peu de temps, le Parti Niçois, présentera ses lignes directrices, afin de préparer le grand changement dont Nice a un besoin plus qu’urgent ; depuis vingt ans, elle est l’otage des partis parisiens, qui l’étouffent, détruisent son identité, et nuisent aux intérêts des niçois. Le Parti Niçois réunira les énergies, les compétences et bonnes volonté, afin de mettre fin au saccage économique, moral, financier et culturel de notre Ville. »  

      

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