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Parti Niçois/Partit Nissart - site officiel
27 juin 2011

« Le reportage truqué par des journalistes de Nice-Matin fait de très grosses vagues »

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois - 27 juin 2011

« Visiblement, le truquage d’un reportage dont le but était de vanter l’action de M. Ciotti contre l’abstentionnisme scolaire n’est pas passé comme une lettre à la poste dans la capitale. Ce jour, lors du journal télévisé de TF1 à 13 H, le présentateur J-P Pernaut a lu un assez long communiqué présentant les plates excuses de TF1 à ses téléspectateurs et stigmatisant longuement cette fraude inadmissible pratiquée par des journalistes de Nice-Matin ; il a indiqué qu’un tel manquement à la déontologie ne s’était jamais vu jusqu’alors, dans les rapports de TF1 avec la presse régionale.

 

« Pour faire de la publicité à M. Ciotti, des journalistes de Nice Matin ont fait une bien mauvaise publicité à Nice qui passe une fois de plus pour une ville où la fraude côtoie les paillettes et les bulles de savon.

 

« Néanmoins, à quelque chose malheur est bon : ceux des Niçoises et des Niçois qui sont encore naïfs et ne jurent que par « ce qui est écrit dans le journal », sauront désormais mieux apprécier à leur juste valeur, les affirmations laudatives répétitives qui paraissent dans le monopole de presse niçois.

 

« Certes, la Mairie de Nice et le Conseil général des A.M. sont de très gros clients pour le monopole de presse, où ils passent leurs annonces légales et des monceaux de publicité dont le bien fondé est souvent contestable, mais ce sont les Niçois qui les payent.  Plutôt que de faire la promotion des élus qui passent commande, il conviendrait de respecter les Niçois qui payent, en délivrant une information fiable.

 

« Il est vraiment grand temps d’assainir la situation à Nice et ce, dans tous les domaines. Les prochaines échéances politiques à Nice  et particulièrement les élections municipales, nous permettront d'ouvrir toutes grandes les fenêtres de ce monde politique à bout de souffle et en pleine déliquescence. Pour l’instant : courage, mobilisation et espoir : Issa Nissa ! »

 

fin de communiqué

 

    

 

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25 juin 2011

Communiqué du Parti Niçois - 25 juin 2011

Parti_nicois_2_1"Les Falsificateurs"

« Voilà deux jours, nous avons eu la preuve que le monde politique niçois et en particulier, l’entourage de M. Ciotti, Président du Conseil général, ne se contente pas du matraquage médiatique que nous connaissons, mais qu’il va même jusqu’à falsifier les informations données au public. L’information, à savoir un faux témoignage dans une enquête réalisée par des journalistes du monopole de presse niçois, ayant été reprise pour argent comptant par la chaîne TF1 dans son journal télévisé, a provoqué plus que des grincements de dents. »

 

«  Mme Catherine Nayl, directrice de l’information de TF1 aurait déclaré, furieuse  : « On a subi un préjudice assez important. Je suis en colère par rapport à la façon dont les journalistes de Nice Matin, qui travaillent dans le cadre de nos accords avec la  presse quotidienne régionale, ont réalisé leur reportage. J’ai appelé Frédéric Touraille [Directeur général délégué de Nice Matin] .... Je lui ait dit mon extrême mécontentement. Ce n’est pas à moi de voir quelles sont les suites à donner, mais je ne  peux accepter ça sur l’antenne de TF1. »

 

« Il n’a échappé à personne que beaucoup de publicité médiatique est faite à M. Ciotti dans le monopole de presse niçois pour la loi qu’il a porté, au sujet de l’absentéisme scolaire. Certains médias niçois  présentent cette loi comme l’universelle panacée et son auteur comme un politicien de stature nationale. La remise en jeu du mandat législatif de M. Ciotti, l’année prochaine, explique peut être cette déferlante médiatique qui chante ses louanges sur tous les modes. Las, les zélés laudateurs se sont pris les pieds dans le tapis du mensonge. »

 

« Lors d’un reportage qui, les faits le prouvent, était de complaisance, les journalistes du monopole de presse niçois, ont interrogé « une mère » d’élève qui  exprimait « sa détresse face à l’absentéisme de son enfant, et son soulagement de voir son désarroi pris en charge par le dispositif de la loi Ciotti ». TF1 reprit cette information et ces images au journal télévisé. Des trompettes de la renommée quelque peu frelatées, apprirent donc à toute la France esbaudie que des laudes et satisfecit  saluaient à Nice, l’action de M. Ciotti. »

 

« Malheureusement pour les organisateurs de cette mascarade, le bel or, bien brillant comme celui qui autrefois garnissait les hottes de l’âne décorant pour les fêtes la vitrine du bijoutier Manicou dans la Vieille Ville, n’était que du toc...  Il apparut très vite en effet, que « la mère angoissée » interrogée, n’était autre... que l’attachée de presse de M. Ciotti.... Et, circonstance oh combien aggravante.... qu’elle n’a pas d’enfants ! »

 

« M. Ciotti, a ouvert immédiatement son parapluie magique en déclarant « Je n’étais pas au courant... c’est une faute professionnelle ; elle est intervenue à la demande de TF1. Je suis choqué ». Le reportage cependant, n’a pas été réalisé par TF1 mais par le monopole de presse...  Si M. Ciotti n’était pas au courant, et que son attachée de presse a agi sans autorisation, cela pourrait laisser penser, que pareille chose est pratique courante. Un politicien est responsable de son staff et que M. Ciotti ait été au courant ou non, nul ne peut nier qu’il était bien le bénéficiaire d’un faux témoignage commis par sa collaboratrice.»

 

« Cet épisode très peu glorieux aura au moins un mérite : celui de relativiser désormais les informations radieuses dont la presse niçoise nous abreuve au sujet du président du Conseil général, et par extension du maire de Nice. Et à plus forte raison, les « sondages » politiques futurs qui ne manqueront pas de fleurir, dans les très pures colonnes du journal que vous savez.»

 

« En citoyens compatissants, ayons une pensée pour M. le Président du Conseil général « qui est choqué » et méditons cette pensée d’Alexis de Tocqueville :

 

«  Je crois que dans tous les gouvernements, quels qu’ils soient, la bassesse s’attachera à la force et la flatterie au pouvoir. Je ne connais qu’un moyen d’empêcher que les hommes ne se dégradent, c’est de n’accorder à personne avec le toute puissance, le pouvoir de les avilir. »

 

« Pour terminer par une note niçoise, en ces temps calamiteux, ayons plus souvent à l’esprit ce proverbe de nos anciens qui demeure plus que jamais d’actualité : « Es couma l’ae de Mànicou... ».

 

Fin de communiqué

 

3 juin 2011

Communiqué du Parti Niçois - 3 juin 2011

Parti_nicois_2_1« Nous constatons que sur un fond de faillite économique et de paupérisation, des scandales à répétition discréditent  la classe politique française davantage chaque jour. De graves atteintes aux libertés individuelles complètent  ce très sombre tableau. Alors que les délinquants sont peu ou pas poursuivis comme ils devraient l’être, que des CRS parisiens rackettent des chauffeurs de taxi, un citoyen facétieux vient d’être condamné pour avoir chanté à sa fenêtre une chanson de Brassens houspillant la maréchaussée, alors que passaient des gendarmes dans la rue !  Nous voilà donc revenu un demi-siècle en arrière, quand le ministère de l’Intérieur interdisait Le Déserteur de Boris Vian ! Gare à celui qui chantera La Marseillaise de Léo Ferret.... Les  citoyens doivent se mobiliser afin de défendre leurs droits et le cas échéant, épuiser toutes les voies de recours dans l’hexagone, pour soumettre ce genre de décisions judiciaires aux instances européennes. La France a souvent été condamnée pour violation des Droits de l’Homme, et à ce rythme, elle risque de l’être davantage encore. Elle va devenir la championne des Non-Droits de l’Homme.

 

A Nice, M.M. Ciotti et Estrosi prônent le tout sécuritaire, mais la forêt de caméras installée à grand frais, la bunkérisation de la mairie de Nice comme les effets d’annonce martiaux et tapageurs sont inefficaces, car la délinquance augmente et la propre voiture du maire a même été attaquée par des voyous ! La loi Ciotti qui jette le soupçon sur les plus défavorisés semble ne satisfaire qu’un ego belliqueux plutôt qu’apporter une réponse efficace aux problèmes  dont les politiciens sont responsables au premier chef. Nous constatons que la délinquance ne baisse que dans les statistiques que M. Estrosi décline à grand renfort de  placards  publicitaires passés dans le monopole de presse niçois. De plus, il n’est pas rare que les rigueurs de la loi frappent davantage les honnêtes gens  coupables de vétilles ou que l’on veut bâillonner, que les voyous dangereux, connus et patentés, notamment ceux qui ont transformé les banlieues en zones de non droit. 

 

Les politiciens carriéristes sont responsables de la déliquescence qui gangrène le pays. A défaut de savoir y remédier, ils ne trouvent que la force pour tenter de maîtriser une situation qui résulte de leur incompétence et de leur démagogie. Ces mesures coercitives frappent également les citoyens protestataires, ce qui est inacceptable. Nice qui a longtemps été relativement protégée se voit maintenant frappée de plein fouet par la faillite économique et morale du pays qui l’annexé dans les conditions que l’on sait. Les Niçoises et les Niçois ne peuvent plus accorder la moindre confiance aux politiciens français. Et ils ne peuvent plus compter que sur eux mêmes pour se protéger des poisons mortels qui s’exhalent du cloaque politique. C’est la raison pour la laquelle le Parti Niçois/Partit Nissart a choisi pour thème majeur : Ni droite, ni gauche, Nice d’abord.

 

Etablir ce désastreux bilan, n’est pas une fin en soi, l’important est d’en tirer les conséquences. Il convient de réagir en portant la société civile niçoise apolitique au pouvoir municipal.  C’est le but impératif que les circonstances imposent et que nous nous sommes fixés. Les Niçois, de souche ou d’adoption, ne doivent point se déchirer entre eux, divisés par des idéologies du XIXéme siècles, tout à fait obsolètes aujourd’hui, qui ont fait la preuve de leur totale inadaptation aux réalités humaines et économiques, mais se préoccuper uniquement des affaires niçoises, qui seules sont à notre portée et sur lesquelles nous pouvons peser directement.

 

Il ne faut pas se  bercer d’illusions : tant que les politiciens carriéristes et leurs affidés qui nous ont menés où nous en sommes, conserveront le pouvoir à Nice, nos affaires ne peuvent qu’empirer. Comme une boule sur une pente, la chute de notre société s’accélère et ce, dans tous les domaines. Gardons nous de l’individualisme égoïste qui paralyse les sociétés et permet aux malfaisants d’agir en toute impunité. De grands combats sont à mener pour sauver notre ville et notre jeunesse des calamités qui s’annoncent. Parmi ces actions, certaines sont vitales : le sauvetage des terrains agricoles de la plaine du Var qui va être  bétonnée par les faiseurs d’argent ; la préservation de nos ressources en eau ; l’instauration d’une véritable justice sociale ; la suppression du gaspillage éhonté des deniers publics ; la sécurité ; la régulation de l’immigration qui finira par faire de nous des étrangers dans notre propre ville ; se pencher très sérieusement sur les problèmes de pollution, qui autrefois étaient considérés à tort comme accessoires et deviennent aujourd’hui un enjeu majeur incontournable. Sans oublier le plus important sans doute, la préservation de notre identité particulière qui seule ferra barrage aux atteintes d’un mondialisme vampirique dont le but est de niveler les sociétés par le bas pour mieux régner économiquement et politiquement.  Nice dispose de tous les atouts pour résister aux forces néfastes qui détruisent nos paysages, dilapident nos ressources, conduisent nos enfants à s’expatrier, ruinent les citoyens, et nient notre identité historique.  Notre identité niçoise est le seul rempart contre la catastrophe, le seul facteur d’union contre les malfaisants, le seul moteur d’une résistance active au déclin.

 

La première étape de cette résistance est la reconquête du pouvoir municipal par la société civile niçoise. Il est capital de chasser les responsables de la situation actuelle, qui ne sont pas au service de Nice, mais à celui des partis parisiens dont ils sont le relais en province. Mais Nice n’est pas une simple province, elle fut indépendante en 1108 et certains acteurs de la politique niçoise devraient s’en souvenir car la négation de l’Histoire, la négation de l’identité d’un peuple et la destruction de sa culture sont des crimes qui ne demeurent jamais impunis.

 

Les hommes politiques pour la plupart, carriéristes, ne servent pas l’intérêt général, mais les formations politiques nationales dont l’appareil assure leur réélection ad vitam æternam. Cumulards, incapables et amoraux ils créent des structures creuses, vivent dans le paraître et ne sont capables que d’effets d’annonces ; brillantinés, gominés, poudrés, pomponnés et coachés, ils  donnent le change au public avec l’appui des médias qu’ils gratifient de fonds publics très importants, par le biais d’inutiles et incessantes publicités. L’écho de leurs gesticulations insanes se perd dans un vide sidéral, pendant que la société se délite chaque jour davantage. Ce déplorable état de choses ne peut plus durer, car nous touchons le fond.

 

Le Parti Niçois/Partit Nissart a été fondé afin de préserver Nice de la dissolution inéluctable qui à court terme guette la société française déjà gravement ébranlée. Une seule option est possible : les citoyens niçois  doivent gérer directement la Ville et associer leurs capacités petites ou grandes. Une volonté commune de  bien faire sera sans nul doute, beaucoup plus salvatrice que les promesses éculées des partis parisiens qui nous ont menés d’abord à la médiocrité et à la jalousie sociale, ensuite à la faillite et aujourd’hui à la déchéance.  Dès la rentrée, M. Alain Roullier-Laurens, président du Parti Niçois/Partit Nissart, publiera un ouvrage d’analyse de société, dans lequel il développera également le programme et les objectifs du parti pour les trois années à venir. Pour l’instant, regroupons nous en vue des combats futurs et faisons face comme nos ancêtres l’ont toujours fait devant le danger. Issa Nissa ! » fin de communiqué  

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